Le mariage est un acte juridique solennel par lequel l’homme et la femme établissent une union sanctionnée par la loi et dont ils ne pourront obtenir la rupture, que dans les conditions prévues par cette même loi. La rupture de ce lien sacré, entrainerait donc des effets immédiats sous forme de pension alimentaire dont il faut obligatoirement s’acquitter pour être en conformité avec la loi. La pension alimentaire est donc profitable aux enfants même lorsque le mariage n’est pas légalement reconnu. Elle peut également s’étendre sur l’ex conjoint ou encore aux beaux-parents. C’est une pension qui s’évalue plus en argent pour subvenir aux frais scolaires, d’entretiens et d’éductions. Et le seul qui peut fixer la validité de cet acte est le juge des affaires familiales.
Quels sont les différents cas de demande d’une pension alimentaire ?
Pour qu’une pension alimentaire soit envisageable, il existe des cas qui doivent nécessairement intervenir. Lorsqu’on prend le cas du divorce ou de la séparation de corps, la pension alimentaire intervient pour protéger les enfants issus de l’union. C’est un bien en argent qu’il faut verser de façon mensuel au conjoint ayant la garde de l’enfant. Surtout en cas de divorce, l’enfant ou les enfants même ayant atteints la majorité continuent d’en bénéficier sauf si ceux-ci ont une autonomie financière. La pension est fixée selon les besoins de l’enfant et des paramètres comme l’âge est pris en compte. Pour en savoir plus, vous pouvez aller sur le site disponible.
A combien s’élève une pension alimentaire ?
Le montant de la pension alimentaire se fixe en fonction des différents régimes. Il existe trois types de régimes : le régime de garde alternée, le régime où les enfants habitent avec la mère et celui où ils habitent avec le père.